Assurance vie : les 5 raisons d’investir en 2023

16 juin 2023

L’assurance vie est l’un des placements préférés des Français*.

A titre d’illustration, en 2022, 144 milliards d’euros ont été versés sur les contrats des 18 millions de détenteurs !
Pourquoi un tel succès ? Sûrement parce que l’assurance vie est une solution d’épargne qui permet de se constituer ou de valoriser un capital pour préparer ses projets, et notamment sa retraite, mais également de protéger sa famille et d’organiser la transmission de son patrimoine à long terme.

Qu’en est-il pour l’année 2023 ? Dans ce contexte économique incertain et volatil, est-ce toujours une bonne idée d’investir dans une assurance vie ?

Pour vous éclairer sur le sujet, voici 5 raisons d’investir dans votre assurance vie en 2023.

1ère raison : l’assurance vie permet d’accéder au support en euros, un support sécurisé et offrant un rendement attractif sans risque sur le capital

Si vous souhaitez faire fructifier votre épargne avec prudence, vous avez la possibilité d’investir sur le fonds en euros. Il vous permet de percevoir un rendement régulier tout en bénéficiant d’une garantie du capital à tout moment.
2,17% : c’est le rendement moyen du fonds en euros Sogécap en 2022 soit 0,81% de plus que le taux moyen servi en 2021. Ce taux de rendement moyen est calculé sur l’ensemble des contrats Sogecap, nets de frais de gestion, bruts de prélèvements sociaux et offres bonus incluses. Ce taux est attribué prorata temporis sur le support Sécurité en euros. Toute sortie totale et définitive du support avant le 31 décembre n’y ouvre pas droit. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Le taux minimum servi sur l’ensemble des contrats Sogecap en 2022 est de 1,60%, net de frais de gestion, hors offre bonus.

2ème raison : l’assurance vie offre la possibilité de diversifier son capital sur différentes solutions d’investissement

Dans un contexte inflationniste, les actions et les obligations peuvent offrir des rendements plus élevés que les placements à taux fixe, comme les livrets d'épargne mais en contrepartie d’un risque de perte en capital. Ainsi, pour chercher à améliorer le rendement de votre contrat d’assurance vie, vous pouvez diversifier vos placements sur les marchés financiers grâce aux unités de compte(1).
Votre contrat vous propose une gamme de supports d’investissement couvrant les principales classes d’actifs (actions, obligations, immobilier…), vous permettant ainsi d’accéder au potentiel des marchés financiers et immobiliers en contrepartie d’un risque de perte en capital. Nous vous invitons à découvrir nos supports et leur performance en consultant le Guide 2023 des supports d’investissement de votre contrat.
Si vous ne savez pas ou n’avez pas le temps de vous en occuper, vous pouvez également déléguer la gestion des avoirs détenus au sein de votre contrat à des experts qui feront les choix d’investissement pour votre compte, en fonction du profil de risque que vous aurez choisi. Parlez-en à votre conseiller ! Ce dernier s’assurera que ce type de service est adapté à votre situation et à vos projets notamment.

3ème raison : la fiscalité avantageuse de l’assurance vie

Vous bénéficiez d’une fiscalité avantageuse dès la 8ème année : un abattement annuel de 4 600 € (ou 9 200 € pour un couple soumis à imposition commune) et un prélèvement de 7,5 % (plus les prélèvement sociaux) sur vos plus-values, si votre contrat est inférieur à 150 000 €(2).
Avant 8 ans, tant que vous ne retirez pas d’argent, vous n’avez pas d’impôt à payer, même si vous revendez certains fonds pour en racheter d’autres à l’intérieur de votre contrat. Néanmoins en cas de rachat ou retrait partiel ou total de votre capital, seuls les plus-values et les intérêts sont soumis aux prélèvements fiscaux(2).
En cas de décès, le capital versé au(x) bénéficiaire(s) échappe aux droits de succession à hauteur de 152 500 € par bénéficiaire pour les versements effectués avant vos 70 ans(3). Quant aux produits (intérêts et plus-values) versés après votre 70ème anniversaire, ils sont toujours exonérés.

4ème raison : une solution d’épargne accessible, non plafonnée et qui reste disponible à tout moment

Alimenter régulièrement votre assurance vie permet de constituer progressivement une épargne sur laquelle vous pourrez compter pour concrétiser vos projets.
Vous pouvez effectuer des versements libres quand vous le souhaitez, selon les montants de votre choix, sans limitation de montant.
Vous pouvez également opter pour des versements programmés pour lisser votre effort d’épargne dans le temps en réalisant des versements fixes et réguliers dès 25 euros par mois.
En plus, avec l’assurance vie, votre épargne est disponible à tout moment en cas de besoin. Vous pouvez donc récupérer l’épargne placée sur votre contrat en intégralité ou en partie via un rachat partiel libre et un rachat partiel programmé. Un avantage non négligeable pour parer aux difficultés passagères ou pour réaliser vos projets.

5ème raison : l’assurance vie vous permet d’accéder à des supports d’investissement responsables

Vous souhaitez investir votre épargne en accord avec vos convictions environnementales, sociales ou sociétales ?
Dans le cadre de votre contrat d’assurance vie, vous avez accès aux fonds de la Nouvelle Génération d’Epargne, une gamme de supports d’investissement responsable.
Avec les fonds ISR (Investissement Socialement Responsable)(4) ou à thématiques Environnement/Climat, vous conciliez recherche de performance et responsabilité en investissant dans des entreprises sélectionnées pour leurs performances financières et pratiques environnementales, sociales et de gouvernance d’entreprise. En prenant en compte les enjeux sociaux et environnementaux dans leur activité, ces entreprises contribuent à créer une économie durable, sans pour autant sacrifier la recherche de la rentabilité.

En résumé, investir sur son contrat d’assurance vie dans un contexte inflationniste peut permettre de bénéficier de la croissance des marchés financiers sur le long terme sous réserve de l’acceptation d’un risque de perte en capital et de bénéficier d'une fiscalité avantageuse.
Votre conseiller est à votre disposition pour vous accompagner afin de s’assurer que vos investissements sont adaptés à votre situation, vos horizons de placement et à votre profil investisseur.

(1) Les investissements sur les marchés financiers présentent un risque de perte en capital. Ces risques dépendent, entre autres, de la catégorie de l’investissement qui peut être plus ou moins spéculatif. Généralement, plus le potentiel de rendement d’un investissement est élevé plus il est risqué. Les caractéristiques des unités de compte figurent dans les Documents d’Information Clé (DIC) disponibles auprès de votre Conseiller SG. SOGECAP ne s’engage que sur le nombre d’unités de compte et non sur leur valeur. La valeur des unités de compte, qui reflète la valeur d’actifs sous-jacents, n’est pas garantie et est sujette à des fluctuations à la hausse comme à la baisse, selon l’évolution des marchés financiers. Ces fluctuations peuvent aussi entraîner un risque de perte en capital.
(2) Selon la fiscalité en vigueur au 01/01/2023, sous réserve d’une modification ultérieure de la réglementation fiscale
(3) Une taxe forfaitaire peut s’appliquer pour les sommes versées au(x) bénéficiaire(s) au-delà de 152 500 EUR, par bénéficiaire.
(4) Le label ISR (Investissement Socialement Responsable), créé en 2016 par le ministère de l’Économie et des Finances, a pour objectif de permettre aux épargnants de distinguer les fonds d’investissement mettant en œuvre une méthodologie d’investissement socialement responsable, aboutissant à des résultats mesurables et concrets dans les domaines environnementaux, sociaux et/ou de gouvernance. Le label Greenfin, créé par le Ministère de la Transition écologique et solidaire en 2015, a pour objectif de mobiliser une partie de l’épargne au bénéfice de la transition énergétique et écologique en garantissant la qualité verte des fonds d’investissement. Il a la particularité d’exclure les fonds qui investissent dans des entreprises opérant dans le secteur nucléaire et les énergies fossiles.
(5) Source : Capital.fr 03/05/2022